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CABRIOLO.

Un instant ! Et notre baraque ! est-ce que nous la quitterons sans jeter un petit pleur sur cet asile de nos vicissitudes !…

PAOLO.

Va pour un pleur ! mais un pleur gai !

SUITE DU FINAL.
LES SALTIMBANQUES.
––––––Adieu, baraque héréditaire !
––––––––––––Adieu !…
TOUS.
––––––––––––Adieu !…
LES SALTIMBANQUES.
––––––Là, je n’avais dans ma misère
––––––––––Ni feu, ni lieu !…
TOUS.
––––––––––Ni feu ! ni lieu !
LES SALTIMBANQUES.
––––––Adieu, tambours ! adieu, parades,
––––––––––Adieu, bons tours !
––––––Adieu, gobelets et muscades,
––––––––––Et pour toujours !…
REPRISE DU CHŒUR.
––––––Tout va changer, quel délire !
–––––––––––––Etc.

Les saltimbanques s’embrassent, la foule s’agit gaiement autour d’eux.