Aller au contenu

Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/120

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

bras nus, levant le velours des loups, pour montrer la grâce du sourire et la finesse du regard.

Les portes des loges battaient, un frou-frou de soie bruissait et des formes élégantes apparaissaient, en volées de femmes, qui se dirigeaient vers le foyer, pour chercher aventure. Des plaisanteries se croisaient, des lazzis partaient,