Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/153

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Jacques, pressé de s’échapper, avait embrassé sa mère, assuré qu’il ne s’était jamais senti plus solide, ce qui était vrai, et qu’il n’y avait point lieu de s’inquiéter. Et, sans plus vouloir écouter ni conseils ni prières, il s’était dirigé vers la gare et avait pris le train pour Monte-Carlo. Les deux femmes restaient donc seules, et leurs journées s’écoulaient silencieuses et mornes.

Pendant ce temps-là, Jacques goûtait les voluptés dévorantes