Page:Ohnet - L’Âme de Pierre, Ollendorff, 1890.djvu/24

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se lève brusquement dans un fourré, attira leur attention, et, au bout d’une minute, ils virent, gravissant un sentier qui court sur le flanc de la colline, un homme dont le fusil brillait à la clarté de la lune :

— Qu’est cela ? demanda Davidoff étonné.

Pierre Laurier regarda avec attention, et répondit :