Page:Oliphant - La Ville enchantee.djvu/104

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
71
LA VILLE ENCHANTÉE

pas assuré. Ô prodige ! Le flamboiement pétille plus fort que jamais.

« Nous, les morts… Allez-vous-en », les mêmes mots se laissent lire à nouveau entre les mêmes intervalles de ténèbres. Épouvantés, nous suivions tous les mouvements de sa silhouette noire qui se débattait comme dans un incendie.

Il redescendit très pâle, avec un pauvre sourire qui voulait être goguenard : « Ma foi, monsieur le Maire, me dit-il, je ne trouve pas le truc. C’est très fort. Mais je vais recommencer mon examen. En attendant, j’ai mis quelqu’un en sentinelle, pour que tout reste en l’état, si toutefois monsieur le Curé…

— Faites, faites, monsieur, vous avez pleins pouvoirs », répondit M. le Curé. Toujours très pâle, M. de Clairon tâchait de