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XIX
INTRODUCTION

l’ouvrage et quasi oublié sa lettre, je vois s’ouvrir devant moi de nouvelles percées dans le brouillard et s’augmenter le nombre des images avec lesquelles travaille ma pensée, je dis : C’est un bon livre, un livre vrai et dans lequel habite un esprit.

À mesure que je m’éloigne de la Ville enchantée, ma pensée retourne avec plus de profit dans le mystère de cette douce tragédie. Le jour où cette traduction sera publiée, je ferai interfolier le volume de papier blanc pour y inscrire les rêveries qu’à chaque page il me suggère. Vais-je paraître dire quelque chose d’absurde et glisser dans les grands excès ? Qu’importe ! on comprendra vite qu’il ne s’agit pas de fixer des rangs et que je cherche seule-