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CHAPITRE III
PREMIER MOMENT : DÉCLARATION MINISTÉRIELLE DU 6 JUILLET
§ 1. — Le Cabinet et l’Empereur cherchent les moyens d’empêcher l’élection du prince de Hohenzollern. — Difficultés terribles d’agir à cause de la date si prochaine du 20 juillet fixée par Prim pour l’élection de Léopold. — Impossibilité de réunir une conférence et aussi de négocier avec la Prusse. — Nous nous décidons, puisque nous ne pouvons traiter avec personne, à parler du haut de la tribune. — Nombreux exemples qui nous encouragent 
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§ 2. — Cochery, sur le conseil de Thiers, demande à interpeller le gouvernement (3 juillet). — Nous acceptons l’interpellation 
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§ 3. — Nous demandons à Le Bœuf si l’armée est prête. — Affirmation confiante du maréchal que si nous agissions sans perte de temps, nous pouvions vaincre 
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§ 4. — Nous examinons la question des alliances. — L’Empereur nous fait espérer celles de l’Autriche et de l’Italie 
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§ 5. — Rédaction de la déclaration. — Emile Ollivier la corrige. — Sa lecture à la Chambre (6 juillet) — La Gauche affecte d’y voir une déclaration de guerre. — Emile Ollivier en rétablit le véritable sens 
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§ 6. — Enthousiasme universel qu’excite la déclaration. — Le Gaulois, l’Opinion nationale, le Moniteur universel, le Figaro, l’Univers, les Débats, le Correspondant attestent cet enthousiasme. — Les journaux anglais font de même 
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