Page:Ollivier - L’Empire libéral, tome 14.djvu/642

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§ 10. — La déclaration de guerre lue par Gramont au Sénat n’y suscite que des acclamations. — Démarche du Sénat à Saint-Cloud organisée par Rouher. — Discours compromettant de Rouher 
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§ 11. — Explication de l’attitude antipatriotique de l’opposition. — Thiers n’a averti aucun ministre, bien qu’il ait dit le contraire, qu’il ne croyait pas l’armée prête 
 485
§ 12. — Gambetta, en réalité belliqueux, n’a pas osé se séparer de son parti. — Le peuple de Paris et de la province se montre au contraire ardent patriote 
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§ 13. — Le gouvernement français notifie la déclaration de guerre à la Prusse dans la pensée que cette déclaration sera suivie d’une entrée en campagne immédiate 
 498
§ 14. — Le roi de Prusse rentre à Berlin. — Ovations belliqueuses qui l’accueillent partout. — Conversation de Lesourd et de Bismarck. — Crédulité lamentable de notre agent. — Bismarck réunit le Reichstag le 29 juillet. — Son discours. — Ses mensonges. — Unanimité patriotique du Reichstag 
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CHAPITRE X
CONCLUSION ET RÉSUMÉ
§ 1. — Les historiens qui représentent Bismarck comme innocent de la guerre, le diminuent. — Ceux qui lui en restituent la préméditation le grandissent. — Les aveux de Bismarck confirment ces derniers 
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