Page:Ollivier - L’Empire libéral, tome 15.djvu/603

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§ 2. — L’Empereur s’effraye du complot révolutionnaire. — Il demande de nouvelles mesures contre la presse. — Émile Ollivier juge que l’état de l’opinion publique ne les nécessite pas. — Enthousiasme patriotique dans toutes les régions. — Manifeste de Dupanloup. — Fermeté confiante de la Bourse. — Élan de l’armée. — Le procès de Blois, après une vaine tentative de trouble, se poursuit paisiblement 
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§ 3. — Émile Ollivier dit à l’Empereur que, devant ce patriotisme général, il juge inutile des mesures spéciales contre la presse. — L’Empereur acquiesce. — Circulaire d’Émile Ollivier aux procureurs généraux. — Arrêté interdisant de rendre compte des mouvements de troupe (22 juillet). — Fureur de la presse contre Émile Ollivier. — Les journalistes continuent leurs indiscrétions. — Le gouvernement s’arrange pour que les nouvelles n’arrivent plus directement aux journaux 
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§ 4. — Le Bœuf interdit l’accès des quartiers généraux aux personnes étrangères à l’armée. — Les journalistes viennent parlementer avec Émile Ollivier. — Lettre de Conti. — Le gouvernement organise un service de renseignements pour la presse. — Émission des bons du Trésor 
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