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Page:Ollivier - L’Empire libéral, tome 15.djvu/604

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CHAPITRE IV
LA PRÉPARATION MILITAIRE. — NOS MAGASINS, NOS ARSENAUX. — LE PLAN DE MOBILISATION ET DE CONCENTRATION. — LA DÉSIGNATION DES COMMANDANTS DE L’ARMÉE.
§ 1. — La préparation militaire ne regarde pas Émile Ollivier. — Il ne s’en préoccupe que comme historien. — Les enquêtes ordonnées après la guerre par l’Assemblée nationale confirment que nous étions prêts 
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§ 2. — Abondance du matériel, des approvisionnements, des habillements. — Ressources en fusils, en canons, en mitrailleuses. — Munitions. — Bonne situation de la cavalerie. — Les forteresses étaient pourvues 
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§ 3. — L’effectif était ce que Niel l’avait promis. — La mobilisation pouvait être faite en 18 jours. Un plan de campagne était arrêté. — Si ces ressources n’ont pu être mises en œuvre aussi vite qu’on y comptait, c’est à nos institutions militaires et non à notre préparation qu’il faut s’en prendre 
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CHAPITRE V
LE PLAN D’OPÉRATIONS. — LES COMMANDANTS DE L’ARMÉE.
§ 1. — L’Empereur, au moment de se mettre en campagne, change le plan arrêté avec Niel. — Le Bœuf trouve ce changement déplorable, mais s’y soumet. — Improvisation d’un nouveau plan subordonné à celui de l’archiduc Albert d’Autriche 
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§ 2. — Notre déclaration de guerre supposait une action rapide. — Le Bœuf, pour obtenir cette rapidité, commence la concentration en même temps que la mobilisation. — On dissémine les troupes sur une longue échelle le long de la frontière. — Toujours en vue de joindre plus facilement les armées de l’Autriche 
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