Page:Ollivier - L’Empire libéral, tome 3.djvu/635

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§ 3. — En Prusse, dispositions également favorables à l’Empereur. — Bismarck conseille l’alliance française 
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§ 4. — L’Empereur aurait accepté l’alliance russe si l’Angleterre avait voulu y entrer comme la Prusse était prête à le faire ; — les ministres anglais ne veulent pas se détacher de l’Autriche. L’Empereur ne voulant pas rompre avec eux ne se décide pas à l’alliance russe. C’est l’erreur capitale de sa politique extérieure 
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CHAPITRE XI
FROISSEMENTS ENTRE LE CABINET DE LONDRES ET L’EMPEREUR A PROPOS DE L’EXÉCUTION DU TRAITÉ DE PARIS
§ 1. — Premier nuage entre le cabinet anglais et l’Empereur en Espagne à la suite du renversement d’Espartero (juillet 1856). — Observation de l’Empereur en réponse à une note de Vaillant 
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§ 2. — Difficultés sur l’île des Serpents et Bolgrad. — L’Empereur règle seul la première et se sert de Cavour pour arranger la seconde 
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CHAPITRE XII
L’INTERMÈDE DE NEUCHATEL
§ 1. — Coup de main sur Neuchâtel (3 septembre 1856) ; sa répression. — Rupture entre la Prusse et la Suisse. — Frédéric-Guillaume IV sollicite la médiation de l’Empereur. Celui-ci l’accorde et obtient la libération des prisonniers et la convocation d’une conférence 
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