Page:Olympe de Gouges - Le Mariage inattendu de Chérubin.djvu/107

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Le Comte.

J’ai pu concevoir, ſans vous offenſer, le deſir de vous plaire.

Chérubin.

Je m’en rapporte à l’opinion que j’ai de la délicateſſe de vos procédés. Permettez, Monſieur le Comte, que je vous embraſſe, & ſoyons unis, comme de bons parens.

Le Comte.

J’y conſens du meilleur de mon cœur.

Figaro, à part.

Quel effort ! Le bon Apôtre ! — Mais voici nos Dames.