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CONSOLATIIICF.
J'allais par des chemins perfides,
Douloureusement incertain :
\'o.s cliôros mains furent mes guides.
Si pâle à l'hori/on lointain Luisait un faible espoir d'aurore ! Votre regard fut le matin.
Nul bruit, sinon son pas sonore,
N'encouraijeait le vovas;eur;
^ otre voix médit: « Marche encore! »
Mon canir craintif, mon sombre cœur Pleurait, seul sur la triste voie : L'amour, délicieux vainqueur.
Nous a réunis dans la joie.
Cela, c'est la passion qui a parle toute pure », comme le voulait Alceste, et c'est le charme irrésis- tible de Verlaine. Rien ne s'interpose entre lui et son sentiment. Son poème jaillit de son émotion avec la spontanéité d'une plante vivace. Est-il heureux? voyez comme sa joie communique son élan à toute la nature dans la pièce :
Avant que tu ne t'en ailles. Pâle étoile du matin...
Mille cailles Chantent, chantent dans le thvm.
"S^^ <Sl ctg'TNi.