Aller au contenu

Page:Oudin - Curiositez françoises, 1656.djvu/170

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
ES 159


e il el} des perfonnes, y d, re troteite : A quoy en fommes nous, i. en quel endroit, Où en fommes nous, i. en quel eflat. en Elles vous là , elles vous de cette humeur. il ne fçlit à quoy il en MI, i. il efl fort eflonné. il E flou pour dominer vn iour,i. il Jetait, &c : vous y Elfes, i vota entendr ;l’afjaire. » vous y, E {tes laiffez vous choir, 1. pe ironie,voui ne rçaste ;pas bien la d’ore. il dl de cela comme des autres chofes , cela femblable. en EŒeS erteS vous de la partie. le fuis encore a le voir, i. ie ne l’ay pas encire vat : , il n’eft que de viure en homme de bien, i. il el ; bon d’eftre boume de bien. il n’eft que d’auoir de l’argent , i. il fait bon en duo ir. ilaeftéencelieu13,ilefi les Effr es d’vne mai fon , &c. i. les endroits, les com. . enoditc, les lieux. Eftreine , le premier argent que reçoit -vn Marchand en vendant fa marchandife.. Eftreiner , qui fe dit des Marchands , receotoie le. premier argent de geigne marchande,. auoir à. fes Eftriers, I. a fes cofte,proche defoy. perdre l’Effrier, i fUccomber en vne affair e. remettre le pied à l’Effrier , i. aider , apporter du remede. le pied à l’Effrier,i. en l’are.

  • logé à l’Ettrille i. en vne Hoftellerie oie l’on _rai,

payer excejeinenterit, vulg. Eftriller, pour battre vue perfonne.