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MÉTAMORPHOSES

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peut au hasard d’une main impitoyable. Pélias, baigné dans son sang, se soulève sur son coude. Ademi mutilé, il lente de se dresser sur son lit, et, au milieu.de tous ces glaives, tendant ses bras décharnés : « Que faites-vous, mes filles ? leur dit-il ; pourquoi vous armer ainsi contre votre père ? » Elles sentent leur cœur et leurs mains défaillir. Eson allait parler encore : mais la. princesse deColchide lui porte à la "gorgeun coup qui lui ôte la voix Après l’avoir mis en pièces, elle le plonge dans la chaudière bouillante. MÉDÉEÉGORGESESENFAKTS. . V. Si les dragons ailés ne l’eussent emportée, elle n’aurait pu échapper au châtiment. Mais, dans son vol, elle franchit le Pélion, couronné de forêts, le palais du fils de Philyre, VOthryset la contrée célèbre par l’aventure de l’antique Cèrambus. Pourvu d’ailes par les Nymphes, il s’éleva dans les airs à l’époque où la terre était ensevelie sous les. eaux, et se déroba au déluge de Deucalion. Médée laisse à sa gauche Pilane d’Éolie, la roche qui représente un long serpent, le bois de l’Ida où Bacchùs cacha, sous l’image Coeeaque dant sa ?.visaversa ; vaincrade.xlris. 111e, cruorefluens, cubilotamenallevatartus, Semilacerqueloroconsurgeretentât, et inler Toimédiusgladiospallenliabracbiatendens : 545 « Quidfacitis, nalac ? quidvosin falaparentis Annal ? » ait. Cecidereilhs animiquemanusque Pluralocuturocumverbisgrtlura Colchis Abstulit, el calidislanialum : —êrsitahenis. MEDEA TILIOSSUOSTEIiClOAT. V. Quodnisi.pennalisserpentibusisselin auras, 350 Konexemptaforetpoena ;.Fugitalla, superque Pelionumbrosum, pbilyrèiaqueteela, superque Olhrynel evenluveterislocanotaCerambi. HicopeNympharumsublatusin aéra pennis, Quumgravisinfusolellusforetobrulaponlo, 555 Deucalioneas erfugitinobrulusundas, .4ioliamPilanena lajvaparterelinquil, Faclaquede saxolongisimulacradraconis ; Idaiumquenemus ; quo, naU’l'urla, juvencum