Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 10.djvu/472

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de longs récits, venez-nous voir, vous aurez la preuve que la gorge de votre ami est rétablie. Ou ptutôt je céderai la parole à madame Ozanam, et vous verrez que j’étais heureux d’avoir une si aimable compagne. Venez, on désire beaucoup vous connaître en attendant, veuillez présenter mes respects à madame L. et déposer de ma part un baiser paternel sur le front de votre enfant. Donnez-moi à votre tour de longues nouvelles ; et rendez-moi causerie pour causerie. Adieu, mon cher ami, je vous embrasse de tout mon cœur.