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ANNÉE 1842

Pardon de ce petit sermon qui empiète un peu sur les droits de notre aîné. Mais une autre fois nous causerons plus gaiement. J’ai d’ailleurs disposé du peu de gaieté que les circonstances me laissent pour le pauvre Théophile, qui ne peut pas aussi vivement sentir nos chagrins et qui a bien assez de ses peines.

Adieu, nous vous embrassons, Alphonse et toi, de grand cœur.