Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 11.djvu/281

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Il s’agissait simplement de faire bien entendre è que tous les chrétiens n’appartenaient pas à cette école violente dont l’Univers s’est rendu l’organe.

Pardonnez, mon cher ami, la vivacité de ces observations. Mais rien ne m’est plus à cœur que l’estime de mes amis de Lyon, surtout de ceux qui, religieux et éclairés comme vous, ont droit de former l’opinion des autres.

Adieu, soyez toujours aussi sincère, aussi confiant pour moi, et croyez-moi pour la vie.

Votre ami dévoué.