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Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 11.djvu/295

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celui d’une belle noce bretonne. Vous voyez bien qu’il ne nous reste guère le temps de politiquer. Adieu, cher frère, je compte qu’Alphonse est de retour fais-lui mille amitiés, et n’oublie pas notre bonne vieille Guigui. Je me recommande à ses chapelets. Tout à toi.