Page:Pépin - Les barricades en 1832.djvu/45

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Or, la société a défendu le principe qui était l’expression de sa pensée, et elle a donné une assez bonne leçon aux hommes qui avaient osé l’attaquer les armes à la main et à force ouverte, elle a fait repentir ceux qui avaient voulu mettre à l’ordre du jour un passé antipathique avec nos mœurs, et impossible dans l’état actuel des choses.