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pieds. L’Athos et l’Olympe[1] me sont devenus moins incroyables depuis que j’ai vu sur une montagne de moindre réputation ce que j’avais lu et appris d’eux. Je dirige ensuite mes regards vers la partie de l’Italie où mon cœur incline le plus. Les Alpes debout et couvertes de neige, à travers lesquelles le cruel ennemi du nom romain[2] se fraya jadis un passage en perçant les rochers avec du vinaigre, si l’on en croit la renommée, me parurent tout près de moi quoi-