vérifient la condition « », c’est-à-dire [58 1]
à la « ».
C’est pourquoi on donne au signe « » le rôle de symbole d’affirmation alterne (entre deux conditions, tandis qu’entre deux il reste le symbole de réunion simple) en lui conservant la lecture « ou » (au sens du latin « vel » [42]).
Donc en symboles :
15. ( 3[ 2])
16. ( 13)
Comme au symbole « » on ne donnera pas d’autres rôles, par des considérations analogues à celle que je viens de faire pour le symbole « » [66]
je suis amené à admettre que
17. ( 8)[1]
68. Voici des applications des symboles que nous connaissons, tirées de la Logique et de l’Arithmétique et qui sont propres à relever encore une fois l’analogie partielle entre ces deux sciences [49] :
18.
savoir [37, 39, 64] « la réunion de deux est rien, toutes les fois que chacune d’elles est rien, de même que
savoir [35] « la somme de deux (absolus) est zéro toutes les fois que chacun d’eux est zéro » ;
19.
savoir « l’intersection de deux est tout, toutes les fois que
chacune d’elles est tout », de même que
savoir [35] « le produit de deux (entiers) est un, toutes les fois que chacun d’eux est un ».
Comme [37 et 5]
20.
il est inutile de placer devant les 18, 19 l’ « » [ 17 et 8].
- ↑ Voici un ex. pour mieux éclairer la distinction entre les affirmations simultanées [65] ou alternes [67] ; si ,
alors
tandis que