Page:Pansaers - L’apologie de la paresse, 1920.djvu/40

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Étends-toi sur cette grève.
J’entends l’hymne de la paresse…

… Coupages de vins consumés —
Mixtures d’essences infectées —
Odeurs de ragoûts délicieux.
Précieux mélange de vocables à la mode.
Muids de mots d’ordre assaisonnés de nuances…

… Les ailes de ton nez deviennent si violacées…

… Tu vas !… Ah…
Tes vibrisses s’ankylosent
et tu souffres de rhumatisme.
Et… la terre toujours refroidit un peu
… Comme la vérité…
Je salue ta mule papale…