Page:Paquin - Jules Faubert, le roi du papier, 1923.djvu/146

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Enfoncé dans son fauteuil, la tête renversée sur le dossier, Faubert communie avec l’âme de l’interprète. Il éprouve la poésie qui se dégage de l’œuvre, qui opère et sur son cerveau et sur son cœur. Il vit cet instant dans un monde idéal, un monde où n’existe que le Beau. Chaque phrase musicale frappant ses nerfs auditifs, se répercute en son âme.

Le morceau est terminé qu’il écoute, songeur les dernières notes résonner en lui.