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il a notamment, et bien à tort, supprimé le trait de la pierre précieuse que l’oiseau prétend avoir dans le corps [1]. Un an auparavant, Wieland avait imprimé dans le Mercure allemand son imitation de l’original, Des Vœgleins Lehren, qui se lit encore avec plaisir, mais ne vaut pas à coup sûr le vieux conte français. Je n’ai pas lu les imitations de deux autres poètes, l’un allemand, Nicolay, l’autre anglais, Way [2].