Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Les pralines teintes de sang
Paraîtront faites à la rose,
Mais je bénirai ma chlorose,
Ô mon inconstante, en pensant
Que rien ne bat dans ma poitrine,
Que tout y est mort désormais ;
Grignotte, toi que tant j’aimais,
Jusqu’à la dernière praline !
Car voilà le cadeau moqueur
Qui pose un lapin à l’idylle :
Des bonbons au sang de mon cœur
Et des larmes de crocodile.