Page:Pastoret - Ordonnances des rois de France de la troisième race, tome 18.djvu/424

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DE LA TROISIÈME R A C E.

fief Octonnc (a), assis au Bost-Gouet, dix livres ; de Jean Carbonnel » bourgeois de Rouen, pour ia ferme Ernault Dubois, dix-neuf livres ; dc Nicolas je Normand, escuyer, pour ladite ferme, onze livres ; des enfans Robert Jdaillart, pour ladite ferme, onze livres ; dc Hébert Beuselin, pour ladite ferme, par an, douze livres quatorze sols ; de la ferme au Tourneur , quatre livres huit sols ; du manoir du Colombier, six (b) sols ; de l’abbé de Corneville, pour la ferme de la Bataille, quatorze livres quatorze sols six deniers ; de Robert Busquier , pour ladite ferme , neuf livres seize sols six deniers ; de Jean Vincfay, pour ladite ferme, dix-neuf livres douze sols six deniers ; de Nicolas le Normant, escuyer , pour ladite ferme , quatorze livres quatorze sols six deniers ; de la ferme Groslen que tient l’abbé de Corneville, trente livres ; de la ferme du Mer, pour ledit abbé, sept livres neuf sols (c) de la jurée Pierre Oradeau (d) , seize sols ; dc la ferme Julienne de Neufville, avec les molins de Bocquictot , quarante - cinq livres ; des Esclusages de Manneville, sept livres treize sols huit deniers ; d’un islot en Somme, par Jean le Marcis, dix sols ; de la jurée (e) Jean Desquetot, pour Guillaume Chenu chevalier, douze livres ; de la ferme Catery, pour l’abbé de Corneville , quatre sols ; de la ferme Ennenoult, six livres ; de la ferme Guy de Guerbaville, vingt-quatre sols ; de la ferme de la Guicre à Esturneville , dix sols ; de la ferme Tabount(f) au Rougemoustier, six deniers ; de la ferme Boutevillain ù Esturneville, six sols ; d’un esprevier, par Jean de Gournay, cinq sols ; de Thomas Valois, pour un tenement que avoit Guillaume l’abbé à Tourneville, seize sols huit deniers et huit vingt-huit œufs, à deux sols trois (g) deniers le cent ; de forfecture Emery le païitcmfh) à Brascot, quatre sols ; d’une pièce de terre à Corneville, qui fut à Colin Dufay, à présent à l’abbé de Corneville, quatre sols ; de Pierre le Doyen, pour trois vergées de terre à Corneville, trois sols ; en la seigneurie (i) de Quillebeuf, de la ferme de Roger de Crouville , douze deniers ; de la ferme de la Souillette à S.* Maard, cinquante-quatre sols ; de la ferme Quenynet, vingt sols ; du bois de S.‘e Opportune, cent treize sols ; de l’heritage (k) Guillaume Pinal à Esie, quatre livres trois sols ; d’une lamproye et d’une alouse à Quil-Icbeuf, quarante-cinq sols ; de la ferme Richard Guerel à S.‘ Bioin, quinze sols ; d’un présent a Quillebeuf par les habitans dudit lieu, sept livres ; la ferme Richard Montquerel, six livres six sols (l) d’une place à Saincte-Opportune, par Jean le Marine !, cinq sols ; des héritiers Mahire du Pericr, cinq sols ; des héritiers Guillaume du Pcrroy, cinq sols ; de Colin Asselot, pour le fief Moruy (m) ’à Bouquelon , quinze sols ; en la sergenterie dc la N OT F. s.

(c) De Hordonne. Tr. des ch.

(h) Cent. Tr. des ch.

(c) Un franc x sols. Tr. des ch.

(d) Près Oradieu. Tr. des ch.

! c ) De la jurée faicte sur Guillaume de

la Haye, sept fr. x sols, porte le Trésor des chartes. Nous avons dit plus haut qu’011 se servoit quelquefois du mot jurée pour exprimer commune. Jurée signifie aussi quelquelois un encan, et c’est le sens qu’il doit avoir jci. Il signifie encore , et nous en trouverons plusieurs exempels dans ces lettres mémés , une obligation pécuniaire , une redevance, la redevance d’un bourgeois juré envers son

seigneur. Nous av ons parlé, dans les volumes précédens , de ces notables choisis pour exercer les fonctions municipales, qu’on désignoit par jurés. V oir les indications données <t ce mot, dans les Tables des matières de ces volumes. ’f) Babovn. Tr. des ch.

V ’ Ung. Tr. des ch.

. h J Simon le painteur. Tr. des ch.

.i) Sergenterie. Tr. des ch.

(k) Héritier. Tr. des ch.

(Il Deniers. Tr. des ch.

m Morin. Tr. de> ch.

Louis XI,

au Plessis

du

Parc-lès-Tours,

Février 1 4-77*