Page:Pastoret - Ordonnances des rois de France de la troisième race, tome 18.djvu/891

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82 6 Tabi, e des Matières. fautrage ou de préage. Discours préliminaire , p. xxxiij. F A VER AS. Le Roi accorde la noblesse à Jeanne de Faveras, veuve de Jean Louan, de Blois, p. 192. FEMMES. Dispositions qui les concernoient dans les lois sur le service militaire. Discours préliminaire, p. iv et note k. Fenestrage, droit à payer pourl’exposi tion à une fenêtre de ce qu’on vouloit vendre. Discours préliminaire, p. xlij. Ferdinand - le - Catholique , Roi de Castille et d’Arragon , p. 1 4-Ferdinand et Isabelle de Castille. Traité qu’ils font avec le Roi pour révoquer l’alliance de ce monarque et de la Reine avec le Duc d’Autriche, p. 432 » note a. Autre traité entre la France et la Castille, ibid. FeRRIÈRES (Notre-Dame de ). Origine de cette église, p. 488, note b. Le Roi lui transporte son droit de garenne et tous autres droits qui lui appartiennent dans la foret de Poncourt, ibid. FesTAGE. Ce que c’étoit que le droit appelé ainsi. Discours préliminaire, p. xxxvij. FÊTES. Amende contre ceux qui vendroient, joueroient à la paume ou danseroient , pendant des fêtes indiquées, sans la permission du seigneur. Discours préliminaire , p. xlvj. Feu. Ce que le châtelain pouvoit percevoir sur chaque feu pour le droit de guet et de garde, p. 474> note FezensAC (Notre-Dame du Vie de ). Amor tissement en sa faveur, p. 216, note a. Fiefs. Bornes mises au droit d’en posséder. Discours préliminaire, p. ij. Sur leur investiture, p. 29. Quand ils étoient dans le cas d’être confisqués, ibid. Fiefs épiscopaux. Ce qu’on appeloit ainsi. Discours préliminaire, p. lix. Fiefs. Lettres ordonnant que ceux qui ont reçu du Roi, en Bourgogne, des terres dépendantes de son domaine, seront tenus de payer les droits de fief, aumônes, gages d’officiers et autres charges, p. 4ç4-F’tfs. Dénombrement des fiefs du Dauphiné, p. 433- Erection de plusieurs fiefs en baronnie. Voir la p. 756 , note a. FlGEAC. Le Roi transporte aux consuls et habitans de Figeac en Quercy, pour eux et leurs successeurs, tous les droits qui lui appartenoient par rapport à Jean d’Armagnac, p. 114. note a. Fissurage. De ce droit et de son objet. Discours préliminaire, page xlj. FLORENCE. Voyez Bénéfices ecclésiastiques, Venise. Florentins. Le Roi donne ordre de leur payer trente mille livres comme indemnité des marchandises prises sur eux par ses sujets, p. 118. Foi. Rester sous la même foi. Discours préliminaire, p. xj. Obligation imposée quelquefois au vassal quand il venoit porter ses foi et hommage en présence du seigneur, ibid. p. xix. Voir la p. xix. FOIRES. Rétributions dues au seigneur par ceux qui venoient y vendre , ibid. p. xlij et xliij. Les Rois défendent d’établir des foires désormais dans le royaume sans leur permission. Voir, sur des amendes infligées relativement aux foires et marchés, le Discours préliminaire, p. xlvj. Foires et Marchés. Voyez Amiens, Bats ( Robert de), Bèje, Bourges, Bourgogne, Bric, Carmagnac, Chabanncs ( Antoine de ), Charnillal en Auvergne, Chillat, Chilleurs, Corbeny, Craonne, Dautiay, Escars en Limousin, Issay, Hogue (La), Landit,La Tillaye (Jean de), Lemcnault, Lyon, Mantelan, Montaigu , Pin lois , Pugny, Ptiissany, Rouen, Saint-Denis, Saint-Loup en Poitou, Saint-Polgues, Salmerange, Simiane, Suryaux-Bois, Taillebourg, Tours en Auvergne, Valence (Notre-Dame du Bourg de ), Vandeeuvre, Villeroy. Foix (Jean de), Vicomte de Narbonne. Don que le Roi lui fait du comté de Lavaur, p. 12, aux notes. II lui fait don pareillement de la terre de Rivière, p. 4°, note a. Jean de Foix avoit reçu le comté d’Etampes des mains du Roi : des difficultés qui s’élevèrent l’ayant empêché d’en jouir, il avoit reçu en compensation les seigneuries de Millau et Compère ; mais les consuls de ces deux villes s’opposèrent à la main-mise de Jean de Foix, attendu qu’elles faisoient partie inaliénable du domaine royal, sans qu’on pût jamais les en séparer ou disjoindre. L’affaire étoit pendante devant le Parlement de Toulouse. Nonobstant toute appellation, le Vicomte de Narbonne avoit envahi la ville de Millau, les armes à la main. Le Roi, considérant les privilèges accordés par ses prédécesseurs à Millau et Compère, incorpore de nouveau ces deux seigneuries au domaine, sans qu’elles puissent jamais en être détachées ; et il annulle toutes les poursuites dirigées à l’occasion des cessions faites au Vicomte de Narbonne, p. 181. Le Roi lui donne le comté de Pardiac et la seigneurie de Montlezun, p. 289, note a. II lui fait don encore de plusieurs terres et droits dans le duché de Guienne,