Page:Paul Féval L'Homme de fer.djvu/144

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tout ce qui n’avait pas quitté ses foyers pour se porter à la passe d’armes.

En arrivant au front de cette masse immobile et qui pouvait être ennemie, le comte Otto, tenant toujours de la main gauche le duc renversé sur sa selle, dégaina de la main droite. La masse vivante recula et livra passage.