QUESTIONS ÉCONOMIQUES
C’est triste à dire, mais un vent de réaction économique souffle sur la Chambre et du train dont elle va, elle aura encore le temps de ruiner la France, avant de se séparer définitivement.
Comme, en somme, ces questions intéressant au premier chef notre arrondissement qui est actif, industrieux et commerçant entre tous, et qui a l’honneur de posséder la Banque de France, j’ai pensé qu’il était bon d’en dire deux mots ici.
Tout le monde sait que la Chambre actuelle aurait pu s’occuper avec fruit de la questions des octrois et de celle des impôts de consommation qui pèsent si lourdement sur les travailleurs, elle aurait pu du moins résoudre les problèmes urgents, touchant le crédit agricole et les boissons, elle aurait dû enfin discuter, et voter le renouvellement du privilège de la Banque de France.
C’est là une question capitale pour la prospérité commerciale, pour le maintien du crédit de notre pays ; il est évident que sans son encaisse métal-