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Page:Paul Vibert - Pour lire en bateau-mouche, 1905.djvu/507

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— Vos amis feraient flanelle, je suis trop pauvre.

— Je le sais.

Et l’homme disparut comme une ombre.

Le lendemain, j’appris qu’il avait quitté Aix par le premier train, et moi-même j’allais rêver de cette extraordinaire aventure aux Charmettes, dans la posthume et plus honnête société de Jean-Jacques et de Madame de Warrens.

Et maintenant, si vous voulez une moralité, je vais vous en donner deux :

Primo, c’est qu’il faut se garder des liaisons dangereuses et secondo, que l’on s’instruit toujours en voyageant !