de diverses tailles et grandeurs, dans les bois ; le tout contre la paix de notre seigneur et roi, et la dignité de sa couronne ; faisant cela malicieusement et traîtreusement, pour injurier l’écuyer. D’après ce, sir Oran était tenu de comparaître et de rendre compte de sa conduite, sans quoi, il serait condamné aux dommages et intérêts, etc. etc.
C’était une énigme pour sir Forester ; mais ce qui augmenta sa surprise, en relisant la lettre, ce fut de trouver miss Melincourt, propriétaire du château de ce nom, mêlée dans cette affaire, comme ayant aidé et porté ledit Oran auxdites dévastations.
Sir Forester conclut que le meilleur moyen d’arriver à la solution de ce mystère, était de se rendre à Mélincourt. Le récit enthousiaste que lui avait fait Paxaret de la beauté et des qualités d’Anthélia.