Page:Peacock - Anthelia Melincourt T2.djvu/135

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langue, je n’ai jamais eu rien à faire avec la paroisse, ni elle avec moi.

— Si vous n’avez pas eu besoin de ses secours, le temps n’en viendra que trop tôt, mon bon ami ; quand vous aurez une nombreuse famille, vous perdrez votre indépendance, et si vous vous trouvez une semaine sans ouvrage, comme cela n’arrive que trop souvent à d’honnêtes gens ; que ferez-vous ?

— Je ferai de mon mieux, maître, comme je l’ai toujours fait ; et on ne peut exiger d’un homme l’impossible.

— En vous mariant, avec un tel avenir, comment ferez-vous pour élever vos enfans ?

— Je m’en remets à la Providence.

— Comment pourrez-vous leur apprendre à gagner leur vie.

— Au diable les questions ! je vois main-