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Page:Peacock - Anthelia Melincourt T2.djvu/136

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tenant que la raison générale est un de ces fabricans de taxes, de ces donneurs de papiers-monnaie, qui ne sont pars contens d’ôter aux pauvres tout ce qu’ils ont, qui en veulent encore à leurs enfans, pour les faire marins ou soldats ; il ne leur manquait plus, que de leur prendre, leur femme.

— La, la, mon ami, vous vous trompez, je veux seulement vous montrer que les pauvres ayant plus d’enfans qu’ils n’en peuvent nourrir, ces enfans sont obligés de suivre la carrière militaire ; les prétendus hommes d’état, trouvent en eux des instrumens pour servir à leurs desseins, contre l’humanité, et un anglais ne devrait pas se marier, sans être sûr de pouvoir nourrir ses enfans.

— Que le Seigneur vous bénisse, avec votre verbiage ; la fin de tout ceci est,