Tellement que s’il avait bu un bon verre de vin de Meuse.
Des coteaux au-dessus de Cepoy.
Disparaît comme par enchantement.
Et il n’a plus qu’un tremblement de chaleur au bout des doigts.
Et la bise aigre.
Qui souffle toujours.
Parce qu’elle n’a pas d’enfants.
Parce qu’elle est une créature inanimée.
Et elle ne connaît pas toutes ces histoires-là.
La bise aigre dans la forêt.
Comme deux glaçons.
Alors lui, riant et honteux.
Riant en dedans et honteux en dedans et en dessus.
Et riant même tout haut.
Car il est doux et il est honteux de pleurer.
Pour un homme.
Alors le pauvre homme il veut faire le malin.
Celui qui n’a pas pleuré.
On veut toujours faire le malin.
Si on ne l’a pas vu.
Des fois.
Riant en lui-même et dans sa barbe à la dérobée.