Elles ne pouvaient pas occuper la quarte position. Elles ne pouvaient pas être vraies toutes les deux.
J’avais fait cette grâce à M. le Grix de le supprimer de l’être. Je crois que je lui avais fait en ceci une grande grâce. J’ai peur que M. Laudet ne lui ait rendu un bien mauvais service en le réinstallant dans l’être.
§ 290. — Je ne voudrais plus présenter que quelques observations. Autrement la conversation ne peut continuer. Nous sommes dans le royaume du reniement. C’est un aller et retour, c’est un circuit de reniement. M. le Grix reniait la chrétienté. M. Laudet renie M. le Grix. Soyons assurés que dans l’article que l’on nous annonce M. le Grix reniera M. le Grix. C’est un reniement qui revient sur soi-même. C’est un boumerang. Pierre avait renié trois fois. Mais c’était dans le même sens.
§ 291. — Nous n’avons plus qu’à nous arrêter à quelques mots. Avant de le faire, — préalablement, — (s’il est encore permis de parler de préalable au bout de deux cents et quelques pages), — il faut que je rende une certaine justice à M. Laudet, — et non point certes à mon sens, — et dans mon système de mesure, — une petite justice. M. Laudet dans son article s’est fort bien conduit envers M. le Grix. Je le dis sans aucune espèce d’ironie. On sait assez combien j’ai horreur de l’ironie, de tout ce qui cherche le ridicule, de tout ce qui flatte le goût du ridicule à trouver, à flatter et à cultiver, de tout ce qui flatte cette démagogie régnante du ridicule. On sait assez, on sait de reste combien l’ironie est con-