Page:Pellerin - Le Bouquet inutile, 1923.djvu/151

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Et c’est en vain qu’Olympia lance
Les plus ardents regards.
Elle voit, saturer d’égards
La fille de Valence.

C’est en vain qu’une rivale ose
Quand le poète a dit
Le charme jamais affadi
D’un bijou noir et rose.



II


Seurat.


La musique. On applaudit
Et l’écuyère salue
Tandis qu’un clown évolue,
Trébuchant, gauche, interdit.

Le piston de la parade
Corne machinalement,
Il ne songe qu’au moment
De fuir la boiteuse estrade.