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qu’est-ce donc alors, ô Dieu de la pensée, que l’existence de l’homme ? À peine le nombre de bouffées d’air qu’il respire en passant et qu’il restitue à l’atmosphère.
qu’est-ce donc alors, ô Dieu de la pensée, que l’existence de l’homme ? À peine le nombre de bouffées d’air qu’il respire en passant et qu’il restitue à l’atmosphère.