Page:Pelletier - Oeuvres diverses.pdf/151

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que- le patron et tu! pour assurer la repo¬ pulation...

üei.aoe. .Ncs-tu pas là pour cet office. ,1e ne t ai jamais dit qufe notre cas pou» vmï l’ire érigé en loi générale. Le moyen ,’ge avait ses moines qui, déchargés du fardeau de lu vie matérielle, m cunsa-

rai’-rii tout, entiers dans leurs couvents a

la prière et à l’étude. Nous sommes des moines à notre façon, avec les avantages de- lu vie libre, sans l’asu je tisseraient d’une règle faite pour les inférieurs.

La porte s"ouvre soudain, Bernard paraît…

Bernard :

— Bonjour, mes amis 1

H fend la main à ses élevés ; son vidage est soucieuse.

Bernard. — Il a dû vous sembler étrange, mon cher Wagner, que je vous fasse ve¬ nir ici, aussi loin. J’ai ce petit laboratoire depuis une dizaine d’années ; j’y viens avec avec mon vieux Delage chercher do l a tran¬ quillité... il a dû vous dire. Si je vous ai prié de vous joindre à nous, c’est que voua Otes mon élève depuis longtemps et que vous m’inspirez confiance... C’est en effet un projet terrible que j’ai en tête depuis plus do (rois ans, J© n’ai pas eu-core osé m’ira ouvrir à personne, pas mémo à mon vieux Delage...

(Une pause.) Delage et Wagner at¬ tendent inquiets..,

Bernard. — Qu© penses-tu de Napoléon,- Del âge ?