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TABLE DES MATIÈRES.
par Marc-Aurèle ; mais ce ne sont pas ses expressions exactes, XI, 33, N. ; — son conseil à un père, lorsqu’il embrasse son fils, XI, 34 ; — pensée citée par Marc-Aurèle, mais non textuellement, XI, 34, N. ; — sa maxime sur les ravissements de notre libre volonté, XI, 36 ; — sa pensée, citée par Marc-Aurèle, n’est pas textuellement rapportée, XI, 36, N.
Épicure et Démocrite ; leur antique doctrine des atomes ; réfutation de ces théories. VII, 23, N. ; — sa maxime sur la douleur, VII, 64 ; — (sentence d’), citée par Marc-Aurèle ; il est assez remarquable que le Stoïcisme puisse invoquer l’autorité d’Épicure, VII, 64, N. ; — cité sur sa conduite dans les maladies, IX, 41 ; — (passage de Sénèque, cité sur la mort d’), IX, 41, N.
Épicuréisme (l’), fausse doctrine des atomes, que Marc-Aurèle combat toujours, XI, 18, N.
Épicuriens (les) regardaient la mort comme l’anéantissement total de l’être, XII, 34, N.
Épigramme qui doit paraître sanglante dans la bouche d’un empereur faisant la guerre aux Barbares, X, 10, N.
Épitynchanus et Diotimus, cités par Marc-Aurèle, VIII, 25 ; — tous deux inconnus, ib., N.
Éponge (l’) et le blanc d’œuf étaient des remèdes usités contre l’ophthalmie, V, 9, N.
Erreurs (quatre) principales de l’esprit ; de quelle manière il les peut éviter, XI, 19.
Esculape, ou plutôt le médecin particulier d’un malade, son Esculape, V, 8, N.
Esprit (l’) ne doit s’occuper que du principe modérateur qui est en nous. III, 4 ; — de l’univers aime l’union, l’harmonie des êtres ; il a établi la subordination, la combinaison en toutes choses, V, 30 ; — son mouvement, VIII, 60.
Essentiel (l’) est de savoir comment l’âme use d’elle-même ; le reste n’est que corps, matière et fumée, XII, 33.
Estime (l’) de ceux qui vivent conformément à la nature, à préférer à la gloire que dispense la foule, III, 1 ; — (ce qui est digne d’), VI, 16 ; — que fait de la vie l’homme qui a l’âme noble et élevée, VII, 35.
État (ne pas faire grand) de mourir plus tôt ou plus tard ; comment cette pensée est juste, et comment elle ne l’est plus autant, IV, 47, N.
Étranger (ce que c’est qu’être) dans le monde, IV, 29 ; — dans sa patrie ; manière de cesser de l’être, XII, 1.
Être tout-puissant, distribue les choses selon leur mérite, IV, 10 ; — (l’) qui nous a produits, nous reprendra par sa puissance génératrice, en vertu d’un changement, IV, 14 ; — (l’) raisonnable ; son bien est dans la société humaine, V, 16 ; — (l’homme ne peut jamais être un) indifférent, V, 20 ; — (l’) qui se sert de tout, est ce qu’il y a de plus excellent dans le monde, et c’est aussi ce qu’il y a de plus excellent en nous, V, 21 ; — (ce que l’) peut devenir après sa mort, VI, 21 ; — (ce que chaque) doit faire, est la conséquence de sa condition, VII, 55 ; — ce chétif composé doit se dissiper quelque jour, VIII, 25 ; —