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remède, qui est la grâce de Jésus-Christ, notre médiateur ».[1] Impossible de mieux traduire la parole de saint Paul : Cum infirmor, tune potens sum.[2] En l’éloignant de ses chères missions, Dieu a imposé au P. De Smet le sacrifice qui lui devait le plus coûter. Mais sa courageuse obéissance, loin d’avoir réduit son action, lui ménage de nouveaux et plus importants succès.

  1. Lettre à Laure Blondel, femme de Ch. De Smet, neveu du missionnaire. — ler juin 1860.
  2. « Ma force, c’est ma faiblesse même ». (2 Cor., XII, 10).