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APPENDICE.

un autre homme debout. Épreuves sans encadrement et sans monogramme ; au bas : € Guercino da Centa » ;

6o Épreuve de la même gravure avec encadrement et monogramme ;

7o Épreuve idem, avec une hachure qui coupe l’encadrement à droite ;

8o Une tête de vieille en médaillon, tournée à gauche du spectateur ; en haut : Dédié à ma femme ;

9o Épreuve retouchée, point de millésime ;

10o Une tête d’homme dirigée vers la droite et coiffée d’un bonnet ; ombres noires et sales ; en haut, dans le coin à droite : « Alolidor. f. » ;

11o Épreuve moins barbouillée sous le no 5 ;

12o Paysage oblong de la grandeur du no 1 ; au fond, un clocher ; à droite, un bouquet d’arbres ; sur le premier plan, trois hommes dont l’un fait tenir un chapeau à un chien ; dans la marge : « Guercino da Centa » ;

13o Deux têtes en rouge, dans deux médaillons en forme de baisoir ; au bas : « Annibal Carrache dèl. De la colleetion du prince Charles de Ligne ; » cette légende est en lettres bien formées, ce qui ne s’observe pas dans les autres ;

14o Une tête de femme tournée vers la droite ; elle respire un lys qu’elle élève jusqu’à la hauteur du nez (d’après le Guerchin). Toutes ces gravures, excepté le no 5, portent le monogramme de l’auteur.

Elles sont à la Bibliothèque royale de Bruxelles[1].

Il faut encore ajouter six gravures d’après les dessins in 8o de Jean-Chrétien Braud, peintre viennois, gravées

  1. Voir Brulliot, Dictionnaire des monogrammes, 1re partie, p. 173, qui donne les quatre monogrammes du prince Charles de Ligne.