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CHAPITRE V


À cette époque, il se fit dans l’emploi de mes journées un changement considérable : j’allai à l’école.

Les gros froids de l’hiver étaient passés, et, tous les matins, je faisais joyeusement la route, conduit par Gertrude.

Un garçon du voisinage, un [eu plus âgé que moi, me ramenait.

Il résulta de ce nouveau genre de vie qu’ayant moins le