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Page:Perrodil - À travers les cactus, 1896.djvu/81

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la plaine du chéliff

pareil assaut et nous ne sommes qu’au seuil de la plaine du Chéliff ! Oh ! oh ! je commence à comprendre.

À cinq heures, après un effort suprême, tant l’épuisement était complet, on entrait dans la ville et on se laissait tomber sur la terrasse d’un café où, après quelques minutes à peine, allait se produire un petit incident assez original mais qu’on me permettra de ne rapporter qu’au chapitre suivant.