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Page:Pert - Charlette.djvu/331

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Page 99 « — Ne voyez-vous pas que c’est un fiancé ? Charlette sourit, son cœur bondissant de joie, car elle avait cru percevoir une jalousie dans les paroles de Hallis… »

Page 109 « … Ce baiser d’amour, le premier qu’elle eût reçu — qu’elle avait vu décrit et jamais imaginé — la laissait singulièrement éperdue et terrifiée… »

Page 130. À cette nouvelle inattendue du départ de Hallis, Charlette s’était sentie frappée d’une douleur aiguë, comprenant pour la première fois la place étrange que cet homme tenait dans son âme… »

Page 153 « … Elle eut un long tressaillement, ses yeux s’entr’ouvrirent, laissant couler deux grosses larmes. — Oh ! vous ! fit-elle avec un reproche, une déception suprêmes… »

Page 160 « … Si je n’ai pas repoussé immédiatement ce projet de mariage, c’est au contraire à cause de la façon particulière dont il se présente… »

Page 183 « — Ah, Charlette, prononça-t-il, la voix altérée, ne te marie pas à la légère !… et, si tu Le maries, demeure irréprochable ! … »

Page 194 « — J’ai confiance en l’avenir, prononça-t-elle avec une ferveur émue… »

Page 208 « … Encore une fois, le mariage avait uni deux cœurs séparés, deux pensées inconnues, deux âmes étrangères !… »