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du règ. de Ch. vi.) — Marche contre le roi d’Angleterre, VII, 273. (Mém. de Fenin.)

Albret (Ch. d’), prince de Navarre, frère de Henri d’Alhret, arrive devant Naples avec quelques gentilshommes, XX, 370. Détails sur la descente périlleuse de ce prince, 372. Il meurt, trois semaines après son arrivée, 382.

Aldobrandin (le cardinal), neveu et légat du Pape, célèbre à Florence le mariage de Marie de Médicis avec Henri ivXXXVI, 464. Se rend à Turin pour accommoder le duc de Savoie avec le roi de France, 465. Arrive à Chambéri, 469. Vient à Lyon pour traiter de la paix avec les députés du duc de Savoie, 484. Y renouvelle la cérémonie du mariage avec le Roi, 485. Conclut le traité de paix avec le duc, 488. XLVII, 303, 306 et 307.

Alègre (le seigneur d’) est tué à la bataille de Ravennes, XIV, 462. (Panég. du Cheval, sans repr.) — Commandant l’armée de César Borgia, se rend à Rome après la prise de Forli ; y obtient la liberté de Cath. Sforce, et l’épouse, XV, 35. Traverse le Milanais, et se jette dans Novarre, qu’il est forcé de rendre à Ludovic ; il se renferme dans le château, 37. Marche sur Naples après la bataille de Cérignolle, et se voit forcé de se retirer dans la forteresse de Gaëte, 57. (Tabl. du règ. de Louis XII.) — Entre dans Bresse à la tête de la gendarmerie, et renverse les Vénitiens, XVI, 8. (Mém. de Bayard.)

Alègre (le marquis d’) assassine Franç. de Montmorency, seigneur de Hallod, XLIV, 547 ; XLVI, 274.

Alègre (Antoine d’), seigneur de Millaud, connu par sa vaste érudition, est tué par Viteaux, XXXVI, 52.

Alègre (Yves, baron d’), blessé au siége d’Yssoire, est tué dans son château, XLV, 152.

Alençon (le comte d’), frère du roi Philippe de Valois, menace de passer avec ses hommes d’armes sur le corps des albalétriers génois qui refusent de combattre à Crécy, IV, 110.

Alençon (le comte d’) se rend à Caen auprès du connétable Duguesclin, V, 72.

Alençon (le comte d’) embrasse le parti du duc de Bretagne, VI, 289. S’oppose à ce qu’on négocie avec les Anglais, 321. Combat corps à corps avec le roi d’Angleterre, et succombe glorieusement, 322.

Alençon (le duc d’) range sous son obéissance et sous celle du Roi la ville et la tour de Verneuil, de concert avec les comtes de Douglas, de Buckam, du connétable de France, du comte d’Aumale, du vicomte de Narbonne et du maréchal de La Fayette, VIII, 103. Combat livré près de cette ville, où les Français ont d’abord le dessus, et sont ensuite battus par le duc de Bedfort et les comtes de Suffolck et de Salisbury, 105. Le duc y est fait prisonnier avec le bâtard d’Alençon, le maréchal de La Fayette et le seigneur de Mortimer, 106. Est délivré moyennant rançon, et en donnant pour otages six chevaliers français, 130. Se rend devant Jargeau avec la Pucelle, 179 ; prend cette ville d’assaut ; retourne à Orléans, 180. Se dispose à mettre le siége devant Mehun et Beaugency, 184 ; attaque et prend d’assaut la première de ces villes ; entre sans obstacle dans la seconde, en attaque le château, 185. Livre combat aux Anglais dans les plaines de Patay ; noms des seigneurs français qui s’y trouvèrent, 187. Ramène au camp Jeanne d’Arc, blessée à l’assaut de Paris, 217.

Alençon (le duc d’) entre dans la ligue dite du Bien public, X, 235. (Mém. de La Marche.) — Est détenu long-temps prisonnier au château de Loches ; délivré par Louis xi, fait, contre la promesse qu’il en avoit donnée au Roi, mourir un boiteux qui l’avoit autrefois accusé, XIII, 363. Obtient sa grâce pour ce manque de foi ; offre ensuite toutes ses villes et pays aux Bretons et au duc de Berri, 364. Est fait prison-