Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/11

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nier par Tristan l’Ermite et amené au Roi, 431. Est conduit à Paris, 434. Arrêt rendu contre lui par le parlement, 448. Obtient d’être transféré de la prison du Louvre dans un hôtel bourgeois, XIV, 30. (Chron. de J. de Troyes.)

Alençon (le duc d’), dernier frère de Charles ix se joint aux Montmorency, et devient comme le chef du parti des Politiques, XX, 161. Se lie intimement avec le prince de Navarre et le prince de Condé, et de concert avec eux entretient des intelligences secrètes avec les Rochellois, 163. Se lie intimement à Marguerite de Valois ; renoue avec le roi de Navarre et le prince de Condé le projet de fuir la cour et de s’emparer de quelques places, 168. Négociations, intrigues ; quels en sont les agens les plus actifs, 169. Le duc est arrêté, 170 ; s’échappe du Louvre, se met à la tête d’une armée, est vaincu par le duc de Guise, 180. Insulté par les favoris du Roi, et trompé dans les espérances qu’on lui a fait concevoir, il se dispose à s’éloigner ; est arrêté par son frère et enfermé dans sa chambre ; s’entend avec sa sœur pour recouvrer sa liberté ; comment il y parvient, 188. Part pour la Flandre, accompagné d’un grand nombre de seigneurs protestans, 192. S’empare des places frontières, passe en Angleterre, où Élisabeth l’entretient de vaines espérances ; revient à Anvers, où il est couronné duc de Brabant, 193. Est honteusement chassé ; se retire à Château-Thierry où il meurt, 195. (Introd.) XXV, 415 et suiv. — Portrait de ce prince, XXXV, 66. Changement opéré dans sa personne par la petite vérole, 67. Se lie avec le roi de Navarre et le prince de Condé ; ses raisons pour vouloir recommencer la guerre, 94. Découvre à Cather. de Médicis le projet des protestans de continuer la guerre, 103. S’échappe de la cour ; écrit au vicomte de Turenne de le venir joindre, et l’engage à ne pas changer de religion, 138. Cherche à se réconcilier avec la cour, 142. Entrevue à Chastenay avec Cath. de Médicis ; traité qu’il y conclut, 149. Se retire en Anjou, 154. Part pour les Pays-Bas, 200. Est battu, revient en France, où il meurt de maladie, 206. (Mém. de Bouillon.) — Se retire de la cour et va dans le Poitou, XXXVI, 72. Se réconcilie avec son frère, 73. Assiége la ville d’Issoire, qui se rend à discrétion, 74. Est arrêté dans sa chambre au Louvre ; parvient à s’évader, 75. Revient avec deux gentilshommes dans la chambre du Roi ; s’explique et se réconcilie avec lui, 76. Traite avec les députés de Flandre pour prendre leur défense et protection, 80. Va dans les Pays-Bas, où il échoue dans son entreprise, 82. Y retourne, est déclaré duc de Brabant ; fait son entrée à Anvers, 83. En est chassé, et revient en France, 85. (Mém. de Cheverny.)

De concert avec le roi de Navarre, il sort de la cour pour se soustraire aux intrigues de Du Guast, XXXVII, 81. À la nouvelle de la captivité de sa sœur au Louvre, il écrit à la Reine mère une lettre de reproches et de menaces, 89. Revient à la cour après la paix, y est traité par le Roi avec toutes sortes de caresses, 95. Signe à Blois l’acte de la Ligue, 97. Approuve le projet qu’on présente à sa sœur d’aller pendant la guerre prendre les eaux de Spa, 101. Va la trouver à La Fère, où il concerte avec le comte de Montigny les moyens de se rendre maître du Hainaut et de l’Artois, 138. Sollicite du Roi les secours nécessaires pour cette entreprise, 140. En butte aux insultes et aux railleries des mignons du Roi, il demande la permission de s’absenter quelques jours de la cour pour aller à la chasse, 143. L’obtient ; fait ses préparatifs de départ, 144. Est arrêté pendant la nuit par le Roi lui-même, et gardé à vue, 145. Demande que sa sœur partage sa captivité, 146. Comment il est remis en liberté et fait sa paix avec le Roi, 151. Dîne avec lui et assiste à un bal, 155. Comment il sort de la cour, 158. Se retire à An-