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sensation, 218. Portrait de cette princesse, 219. (Introd.)

Son caractère ; reproches qu’elle adresse au connétable, XXIV, 256. Mécontente de l’autorité des Guise, elle favorise en secret les mécontens, 262. Fait donner les sceaux au sieur de L’Hôpital, et tenir une assemblée des principaux seigneurs du royaume, dans l’espoir que le roi de Navarre et le connétable reprendront l’autorité, 283. Après la mort de François II, elle s’accorde avec le duc de Guise pour empêcher que le roi de Navarre n’ait la régence, 314. Sa politique envers ce prince ; elle fait accorder aux huguenots la permission de prêcher, 316. Fait tenir le colloque de Poissy en faveur des huguenots ; se lie publiquement et en secret avec eux, 317. L’édit de janvier 1562 est son ouvrage ; quel en est le but, 318. Encourage le prince de Condé et les Châtillon ; fortifie les huguenots, les favorise au dedans et au dehors ; appelle les chefs à Fontainebleau, 326. Ses craintes et ses douleurs, 327. Se retire des mains des Guise et du roi de Navarre par le moyen de Rostain, gouverneur de Melun ; fait un accommodement avec eux, 328. Par ses lettres secrètes, plusieurs villes se jettent dans le parti des huguenots ; par d’autres lettres envoyées aux princes d’Allemagne, et enregistrées dans leurs chancelleries, des secours étrangers sont demandés et obtenus contre les Guise, 332. Après la bataille de Dreux, confirme le duc de Guise dans la charge de lieutenant général ; renoue ses intelligences avec l’amiral ; l’invite à ne pas perdre courage, 380. Fait la paix avec les chefs du parti protestant, 394. Donne l’état de grand-maître et de gouverneur de Champagne au fils du duc de Guise, 395. Fait déclarer le Roi majeur par le parlement de Rouen, et voyager ses enfans dans le royaume, 412. Fait construire une citadelle à Lyon ; ordonne le démantellement d’Orléans et de Montauban, 414. Décide avec la reine d’Espagne et le duc d’Albe la ruine des hérétiques en France et en Flandre, 415. Assemble les grands à Moulins pour les réconcilier, 449. Fait faire une levée de 9,000 Suisses, 450. Se rend à Meaux avec ses enfans ; revient à Paris au milieu des Suisses, 459. Après la mort du connétable, elle donne le commandement des armées à M. le duc d’Anjou, XXV, 16. Fait la paix avec les huguenots, 25. La fait de nouveau pour gagner du temps, 181. Avertie par MM. de Sauve et de Retz des conseils secrets tenus entre le Roi et l’amiral, elle se rend à Montpipeau, et dans une conférence secrète essaie par ses discours de regagner la confiance de son fils, 291. Résout avec le duc d’Anjou la mort de l’amiral, 292. (Mém. de Tavannes.) — Sa conduite à Paris après la bataille de S.-Quentin ; elle assemble le peuple à l’hôtel-de-ville, XXXII, 481. Obtient 300,000 francs pour la solde de 10,000 hommes de pied, 482. (Mém. de La Chastre.) — À la mort de François II, elle est reconnue régente, et réconcilie le roi de Navarre avec les Guise, XXXIII, 121. Ses efforts pour regagner le prince de Condé, 176. Ses véritables desseins, 177. Engage ce prince à venir à la cour, 182. Son entrevue avec lui au village de Talsy, 189. Autre entrevue à Beaugency, 193. Comment elle devient inutile, 194. La Reine est suspecte aux protestans, 195. Propose de fonder un hôpital pour les soldats estropiés, 311. Tombe malade d’une chute, 316. Se fortifie contre les huguenots des princes voisins ; gagne les cœurs des catholiques en allant à leurs grandes assemblées, et assistant aux processions générales, 365. Fait supprimer la charge de connétable à la mort d’Anne de Montmorency, et nommer le duc d’Anjou lieutenant général, 400. Va voir l’armée du duc d’Anjou dans le Limousin, 462. (Mém. de Castelnau.) — Dans un conseil tenu à Monceaux, elle ex-