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pose que les protestans, en faisant secrètement des levées d’hommes et d’armes, n’en veulent pas seulement à la maison des Guise, mais au Roi et à l’État, XXXV, 56. Sa politique à l’égard de ses enfans, 68. Veut chasser la Mole d’auprès du duc d’Alençon, 97. Mène au roi de Navarre Marguerite sa fille ; leur entrevue à La Réole, 169 ; puis à Nérac, 170. Ce lieu est choisi pour une assemblée des députés protestans, 171. La Reine se rend à Auch pour conférer avec le roi de Navarre, 174. Sa prévoyance lors de l’expédition du duc d’Alençon dans les Pays-Bas, 200. (Mém. de Bouillon.) — Se rend à Épernay auprès des Guise ; y règle avec eux les articles de l’édit de réunion, XXXVI, 91. Est envoyée en Poitou pour conférer avec le roi de Navarre, 94. Sa mort, 125. (Mém. de Cheverny.) — Mène le Roi à Tours pour voir le duc d’Anjou ; sa joie en entendant le discours que ce prince adresse à Sa Majesté, XXXVII, 36. Avertissemens secrets qu’elle reçoit des événemens heureux ou malheureux qui arrivent à ses enfans, 61. Défend Marguerite de Valois auprès de Henri III, contre les rapports de Duguast au sujet de Bussy-d’Amboise, 73. Travaille à réconcilier le Roi avec son frère le duc d’Alençon ; va trouver ce dernier en Champagne, 90. Revient auprès du Roi ; obltent la liberté de Marguerite ; son entretien avec cette princesse, 91. (Mém. de Marg. de Valois.) — Meurt à Blois, XXXIX, 15. Ses funérailles ; son éloge par Bertaut et par Cayet, 16. Elle sauve quatre fois l’État et le Roi contre les entreprises de quelques grands, soit huguenots, soit catholiques, 17. Elle est justifiée de la calomnie qui lui attribue la mort de la reine de Navarre, 24. Ses dernières paroles, 29. Bâtimens qu’elle a fait construire, 30. Anciens livres manuscrits dont elle a augmenté la bibliothèque du Roi, 31. (Mém. de Cayet.) — Elle fait savoir à Henri III que le duc de Guise se contentera d’un pouvoir général sur les armées, XLIV, 58. (Mém. de Villeroy.) — Fait étrangler Loménie, secrétaire du Roi, pour donner sa terre à son mignon de Retz, XLV, 78. Vers où on la compare à Jézabel, 80. Accepte la régence qui lui est offerte par le parlement après la mort de Charles IX, 91. Dépêche en Pologne pour apprendre au Roi la mort de son frère ; fait murer toutes les portes et entrées du Louvre, 92. Va jusqu’à Lyon au devant du Roi, 100. Ses paroles au sujet de sa vie imprimée qu’on lui fait lire, 103. Paroles du cardinal de Lorraine sur cet ouvrage, 104. Paroles de Cath. de Médicis en apprenant la mort du cardinal de Lorraine ; ses appréhensions, 109. Pourquoi elle approuve le mariage du Roi avec Louise de Lorraine, 113. Est accusée d’avoir fait voler la vraie croix dans la Ste.-Chapelle du Palais, 115. Sur les fausses nouvelles de la mort du maréchal Damville, elle fait resserrer plus étroitement le maréchal de Montmorency ; s’en repent ensuite, 117. Mange tant au repas de noces du marquis de Nomeny avec la demoiselle de Martigues, qu’elle manque en mourir, 118. Est effrayée de l’apparition d’une comète ; vers contre elle à cette occasion, 158. Va trouver le duc d’Alençon à Angers ; comment elle en est reçue, 165. Va trouver le duc de Guise en Champagne pour savoir de lui la cause des remuemens qu’il y fait, 289. Est soupçonnée d’être d’intelligence avec les Guise pour priver ceux de la maison de Bourbon de la couronne, 297. Va trouver le Roi à Mantes pour le prier au nom du duc de Guise de revenir à Paris ; elle retourne fort mécontente du refus du Roi ; va le trouver à Chartres avec le duc de Guise, le cardinal de Bourbon, etc., pour le même sujet ; même refus, 369. Meurt à l’âge de 71 ans, endettée de 800,000 écus, 380. Son dernier avis au Roi après la mort des Guise, 381. Vers faits contre sa mémoire, 382. (L’Estoile.)