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arrêter le jeune duc de Gueldre, et le force à rendre la liberté à son père Arnoul ; fait mourir publiquement, de concert avec Louis XI, le connétable S.-Paul, 391. Célèbre à Valenciennes la fête de la Toison d’Or ; noms de ceux qui y furent faits chevaliers, 392. Devient duc de Gueldre ; se rend maître du comté de Zutphen, 393. Fait prendre le comte de Wittemberg ; gagne tout le pays de Lorraine, 394. Va au secours du comte de Romont ; fait prisonniers plusieurs Suisses, qu’il fait pendre ; est forcé de se retirer avec ses troupes, 395. Perd la bataille de Granson, 396. Va mettre le siége devant Morat ; est battu devant cette place ; se retire du côté de Liége, 397. Marche en Lorraine au secours de son lieutenant J. de Rubempré, 398. Fait une trève de 9 ans avec le roi de France ; texte de cette trève, 399. Ordonne à Oliv. de La Marche de prendre madame de Savoie et ses enfans, 417. Met le siége devant Nancy ; livre bataille et la perd avec la vie, 420. — État de la maison de ce prince. Ecclésiastiques qui desservent sa chapelle, 479. Fonctions de ses aumôniers, 480. Membres de son conseil de justice ; leurs fonctions, 481. Audiences données par le prince ; de la salle où il les donne, 482. Du prevôt des maréchaux, 484. Du conseil de guerre, 485. Des finances ; comment elles sont administrées, 486. De l’état de la maison civile ; officiers dont elle se compose, 487. Du premier état de cette maison, qui comprend la panneterie, 495. Détails curieux à cet égard, 496 et suiv. Du second état, qui comprend l’échansonnerie ; détails, 504 et suiv. Du troisième état, qui comprend l’écuyerie, 513. L’écuyer tranchant porte toujours dans les batailles le penon des armes du prince ; pourquoi, 514. Ses autres fonctions, 516. Des écuyers de cuisine ; leurs fonctions, 519. Des saussiers, 523. Des fruitiers, 524. Du quatrième état, qui comprend l’écurie ; des écuyers d’écurie, 527. Des qualités requises pour être premier écuyer d’écurie, 528. De l’étendard du prince qu’il doit porter, 529. Sa juridiction sur les autres écuyers, 530. Du palfrenier du prince ; des valets d’écurie, 532. Des maréchaux, des botteleurs, des chevaucheurs, 533. Des rois d’armes, des hérauts d’armes, des poursuivans, 534. Du roi d’armes de la Toison, 536. Des trompettes de guerre, 537. Des archers gardes du corps, 538. De la garde du prince ; du capitaine de la garde, 539. Dans quel ordre la maison du prince l’accompagne à la guerre, 541. Du maréchal du logis de l’hôtel, 542. Du fourrier du logis, 543. Des portiers et des aides-portiers ; des sergens d’armes, 545. Du nombre des hommes d’armes du duc en ses ordonnances, 547. Des conducteurs de ses ordonnances, 548. Des gens de pied, 551. Du maître de l’artillerie ; son autorité, 553. Du maréchal de Bourgogne ; il est égal à un maréchal de France. Du maréchal de l’armée ; dans quel cas on en nomme un, 555. À quelle somme annuelle se montent les dépenses de l’état de la maison du duc, 556. (Oliv. de La Marche.) — Il va trouver le roi Louis XI à Tours, XI, 97. Accueil qu’il en reçoit ; s’égare à la chasse, 98. Prend congé du Roi ; honneurs qu’on lui rend partout où il passe, 100. Ordonne des prières publiques dans toutes les églises pour le rétablissement de la santé de son père ; ses soins pour lui pendant sa maladie, 103. Se défend à l’assemblée des trois États, tenue à Bruges, de ceux qui ont indisposé son père contre lui, 111. Remercie les députés des États réunis à Gand de l’attachement qu’ils ont montré, 113. D’après leur prière, le comte va trouver son père, lui présente humblement ses excuses, et se réconcilie avec lui, 115. Assiste à ses derniers momens, obtient sa bénédiction, 118. (Mém. de Du Clercq.) — Convoque tous les vassaux du duc de Bourgogne ; chasse les sei-